Sister distribution

«  Un arrière-goût de dernier tour de pistes des signes de la jeunesse millénaire, et d'innocence malgré tout, qui prend son envol chaque fois qu'apparaît un personnage de jeune fille (qu'elle soit une potentielle fiancée pour la vie ou une soeur défunte), et qui explique aussi le rythme ralenti du film, qui ne cherche jamais à aller sur le terrain d'un cinéma guerrier ou vénère, mais plutôt à pénétrer dans le coeur silencieux d'un monde abasourdi : un des grands témoignages à chaud, à notre sens, d'une jeunesse 2019.»

« Eat the Night : un thriller magistral et ultra contemporain qui prend aux tripes » Les Inrockuptibles.

Biel / Bienne

La Chaux-de-Fonds

10.09.24 - 18:15, ABC
dernière séance à l'ABC

Lausanne

17.09.24 - 20:00, Pathé Les Galeries
Proud Tuesday. Vivons les films, partageons ce moment ensemble. Bienvenue à tous.tes, communauté LGBTQIA+, amoureux-ses du 7ème art!
Dès le 09.09.24, Pathé Les Galeries
Lundi 9 et mardi 10 à 20:30

Lausanne (Casino de Montbenon)

22.09.24 - 17:00, Le Cinématographe
En présence de Ssaliva - et suivi d'un live

Martigny

Dès le 15.09.24, Corso

Sainte-Croix

Dès le 19.09.24, Cinéma Royal

Tavannes

Dès le 14.09.24, Royal Tavannes

Vevey

05.09.24 - 20:45, Cinéma Rex

En 1995, une série de meurtres secoue une petite ville du Sud de la Chine. Chargé de mener l’enquête, le chef de la police Ma Zhe installe ses quartiers dans le cinéma local, désormais désaffecté. Rapidement, un suspect est arrêté. Mais de nouveaux indices vont venir semer le doute dans l’esprit de Ma Zhe, qui s’abîme peu à peu dans une spirale paranoïaque. Quasi intégralement tourné en 16mm, Only the River Flows fascine par ses images au grain organique, qui confèrent à ce polar complexe une atmosphère des plus envoûtantes. A seulement 33 ans, le réalisateur chinois Wei Shujun signe une captivante plongée dans la Chine de la fin du 20e siècle, doublée d’un grand récit sur la condition humaine. - Passion Cinéma

« Avait-on jamais vu un tel film en Chine, arrivée sans doute plus tard au stade de la réflexivité ? En tout cas, tant la dextérité du cinéaste que sa liberté de ton sont ici bluffantes. Esthétiquement, les fameuses couleurs chinoises sont au rendez-vous, mais sans atténuer un réalisme critique avec une mise en abyme à la manière du Coréen Hong Sang-soo (d’ailleurs cité). Partout règnent l’insatisfaction, l’envie et l’espoir déçu, exacerbés par ce formidable miroir aux alouettes qu’est le cinéma. » Norbert Creutz, Le Temps

« On ne compte plus dans les rangs de la sélection cannoise les films qui, centrés sur le cinéma, prennent place dans son petit milieu (Bergman Island, de Mia Hansen-Love) ou mettent un tournage en abyme (The Souvenir Part II, de Joanna Hogg). A ce petit jeu, le second long-métrage du jeune cinéaste Wei Shujun, l’un des rares à représenter cette année la Chine sur la Croisette, se montre sans doute le plus subtil. Ripples of Life, l’une des belles surprises de la Quinzaine des réalisateurs, choisit de se dérouler non pas pendant un tournage, mais juste avant, dans ce moment d’installation qu’on nomme les « repérages », où l’imitation n’a pas encore complètement pris le pas sur la vie, ni le scénario sur la réalité. »  Le Monde

« Quelles qu'aient pu être leurs divergences créatives, Wei et son scénariste ont certainement bénéficié d'une collaboration plus productive que leurs alter ego exaspérés, car Ripples of Life est un deuxième long métrage particulièrement réussi. »  John Berra, Screen Daily

Sainte-Croix

  • « En tant que cinéaste, qu’un être de la sorte puisse exister dans un film est à peine croyable. Les images en sont comme autant de preuves de son énergie vitale – mais alors, la puissance de vie qui se loge là, sans doute existe-t-elle aussi en nous-mêmes, l’avons-nous seulement employée à sa juste valeur ? Tel est le genre de remises en question auquel nous sommes alors contraints. La vie, ici réinsufflée. »
  • Ryusuke Hamaguchi
  • "Peut-être le plus grand maître du cinéma japonais contemporain."
  • Kiyoshi Kurosawa
  • "Typhoon Club est une œuvre dans laquelle cette vitalité, chez les jeunes acteurs notamment, est plus forte que dans n'importe quel autre film."
  • Ryusuke Hamaguchi

Genève

14.09.24 - 18:30, Les Cinémas du Grütli
Séance spéciale en présence de Guillaume Morel et avec la participation de l'Association suisse-japon

Lausanne (Casino de Montbenon)

Star Wars par Bruno Dumont, La Guerre des étoiles en pire et en plus réaliste donc, c’est-à-dire L’Empire.